«Une ville bâtie sous le niveau de la mer»
le Cavalier de Bronze, A. Pouchkine
"Street Art" - Artiste russe nommé "P-183" (Pavel Pukhov 1983-2013) . Voir le site. |
- les femmes PIONNIÈRES absentes du PRDH : Un 2e courriel à Mme Lisa Dillon "directrice" (c'est un rôle quasi-bidon) du PRDH à l'Université de Montréal (v. plus bas).
- Et, encore, les ADOPTÉS. Évidemment pour tenter de voir le droit à la confidentialité annihilé, c'est utile aux profiteurs de l'Institut Drouin de publier des donnés confidentielles, sans autorisation, mais quand c'est pour être conséquent, et mobiliser les généalogistes à appuyer les personnes adoptées... ben là. Ce n'est plus intéressant!
Pourtant, en 2002, lors de la Consultation de la Commission d'Accès à l'Information, quand les généalogistes [opportunistes] voulaient convaincre la CAI de leur accorder plus de droits, ils ont mentionné à plusieurs reprises la Loi aberrante sur les adoptés, et sur ce qui ce faisait en Europe.
le Projet de Loi sur les Personnes adoptées. (Mme Marie Royal, la présidente de la Fédération, ne m'a pas répondu, n'a rien fait non plus, elle préfère faire semblant que «le Code de Déontologie du Généalogiste» existe. c'est écrit ça doit être vrai : les généalogistes respectent les droits d'auteurs et les Lois sur la confidentialité. C'est parfait pour flatter l'égo des Généalogistes, de vrais pros et déontologiques,, à part ça! Même Jean-Pierre Pépin, Michel Pratt et Marcel Fournier le sont.... c'est tout dire. Bravo!)
Un autre reportage, court mais excellent, de Radio-Canada : ce lien.
Trois personnes adoptées parlent de leurs cas - ils ont 50, 56 et 82 ans. Un professeur de droit de l'Université de Montréal y commente les faits.
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Un autre courriel envoyé (en pure perte) à Mme Lisa Dillon, soi-disant "directrice" du PRDH
Bonjour Mme Dillon,
Je n'ai pas reçu de réponse à ma demande du 8 mars dernier.
Est-ce que je dois comprendre que les Femmes vont demeurer exclues du rôle de PIONNIÈRES ?
Si les «Pionnier» sont mentionnés en fonction de leur année et lieu de naissance [ce lien] ; pour les «filles du roy», c'est tout autre. Elles sont classées en fonction de leur union à un «Pionnier».
Aucune mention, évidemment, sur le nombre de ces dames qui ont perdu la vie en donnant naissance à un Pionner-junior. Sans intérêt, elles n'ont pas [donner] donné leur «nom» que leur vie..
C'est vraiment consternant. Ce n'est plus de la Science, c'est de l'abrutissement.
merci
N. Bédard
Montréal
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LE PRDH DE TOUTES LES TURPITUDES.
PRDH : «autre nom» de l'Institut Drouin,
c'pas trop chic, mais c'est le registre des entreprises du Québec, qui le dit, avec Bertrand Desjardins comme «actionnaire»; ce qu'il a caché pendant des années ( il l'est depuis ~ 2009).
Un autre actionnaire caché est Michel Pratt qui a menti aux membres de la Société Historique du Marigot (il en était «président») pendant un 12aine d'années, pour pouvoir mieux tirer profits de son conflit d'intérêt. Ses coactionnaires (JP Pépin et S. Robert) étaient aussi sur le conseil d'administration de la Société! Leur avocat-fourbe Denis Racine, était lui, «président» de la Fédération, et évidemment vantait les prouesses de son client!
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B. Desjardins et M. Pratt ont usé de la Société du Margiot pour dissimuler l'utilisation des transcriptions 1621-1799 (du PRDH et de Chenelières), en mentant aux membres, aux bénévoles, aux généalogistes, et en s'efforçant de faire croire que les transcriptions des actes anciens était le fait de "'Institut Drouin". Le nom du PRDH était rigoureusement caché partout, M. Desjardins appelait cela «la qualité de incorrection de l'Université de Montréal» (note : le petit extra en rouge, c'est moi qui l'ai ajouté). M. Desjardins et ses acolytes sont très forts pour les bobards.
Idem pour leurs autres tricheries du genre : publication d'une liste électorale volée, publication des données de personnes adoptées, publication du BSQ 1926-1996 (un comble de bobards, dissimulation et tromperies).
N'est-ce pas ?
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Omission
Ça alors ! J'ai oublié de lui mentionner les plagiats faits par le PRDH
de René Jetté, L. Larouche et L-P. Hébert !
Je suis impardonnable.
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